Job d'été : le Récap !

La signature, c’est sacré. Pas de contrat signé ? Pas de boulot. Assurez-vous d’avoir votre contrat de travail signé dans les 48h après avoir commencé. Sinon, c’est comme marcher sur une corde raide sans filet. Et votre contrat doit mentionner toutes les informations essentielles : horaires, salaire, durée... Un oubli ? C’est un piège potentiel.

Astuce : Lisez chaque ligne de votre contrat, même les petites lignes en bas. Elles cachent parfois des informations cruciales.

Payé au noir ? Mauvaise idée. Même si votre employeur propose de vous payer en liquide pour quelques euros de plus, refusez. Vous risquez gros : pas de couverture en cas d’accident et des soucis avec l’administration fiscale. Vous devez recevoir une fiche de paie, point.

Surveillez vos heures. Vous ne pouvez pas travailler plus de 10 heures par jour ni 48 heures par semaine. Et si on vous dit de ne pas compter vos heures, méfiez-vous. Tenez un carnet de bord de vos horaires, c’est votre bouclier en cas de litige.

Même droits que les CDI. Vous êtes saisonnier, mais ça ne veut pas dire moins de droits. Congés payés, accès à la cantine, indemnités de transport... Vous y avez droit. Tout doit être clair sur votre contrat.

Mineur et au boulot ? Oui, c’est possible. Mais il y a des règles strictes : pas de travail dangereux, pas d’heures supplémentaires et un salaire en fonction de votre âge.

Fin de contrat. À la fin de votre job d’été, n’oubliez pas de demander votre certificat de travail. Et si on vous propose de rester quelques jours de plus, demandez un nouveau contrat ou un avenant. Pas de prolongation sans papier.

Votre job d’été est une expérience enrichissante, mais restez vigilant et informé. Un contrat clair, des droits respectés et un salaire légal : c’est la clé pour une belle aventure estivale. Bon travail et bon été !